165.

Nyomtatóbarát változat

165 — Observer la loi que nous nous sommes imposée à nous-mêmes plutôt que la loi des autres, telle est la signification de la liberté dans notre condition non régénérée. C’est seulement en Dieu et par la suprématie de l’esprit que nous pouvons jouir d’une liberté parfaite.

 

La liberté véritable est d’être en union constante avec le Divin et de ne faire que ce que le Divin nous fait faire.

Mais jusque-là, il vaut mieux s’imposer à soi-même une loi supérieure d’action et de conduite, et la suivre scrupuleusement, plutôt que d’obéir à la loi des autres hommes et des conventions sociales et morales.

1er octobre 1969

Douce Mère, Quand on vit dans une communauté, ne devient-il pas nécessaire, souvent, d’obéir aux lois imposées par les autres au lieu de suivre les disciplines que l’on voudrait pour soi-même ?

Il est évident que si l’on a choisi ou accepté de vivre dans une communauté, il faut suivre les lois de cette communauté, autrement on devient un élément de désordre et de confusion.

Mais une discipline acceptée volontairement ne peut pas nuire au développement intérieur et à la croissance de la conscience supérieure.

3 octobre 1969

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